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L'Angleterre de Tony Blair entre dans le nouveau millénaire, et les héros de Bienvenue au club dans l'âge mûr. Vingt ans après, qu'ont-ils fait de leurs idéaux de jeunesse ? N'auraient-ils d'autre choix qu'entre compromissions et im[...]texte imprimé
Istanbul, en cet hiver 1591, est sous la neige. Mais un cadavre, le crâne fracassé, nous parle depuis le puits où il a été jeté. Il connaît son assassin, de même que les raisons du meurtre dont il a été victime : un complot contre l[...]texte imprimé
«John Henry est un héros mythique de la culture noire américaine. Un jour de 1872, ce colosse perceur de tunnels, "né un marteau à la main", défia un marteau piqueur : il le gagna de vitesse, puis mourut d'épuisement. Depuis, d'inno[...]texte imprimé
Luisa de la Cueva, fille d'un grand propriétaire de plantation de canne à sucre et d'une domestique indigène, est née dans le petit village de Malagita sur l'île de San Pedro dans les Caraïbes. Elle y passe une partie de son enfance[...]texte imprimé
«Le football familial, ou comment survivre en famille.Déterminez le défaut le plus irritant de chaque membre de votre famille et attribuez-lui une couleur.Dès que votre père hurlera pour un torchon disparu, vous lui crierez : "Carto[...]texte imprimé
En 1941 - donc sous l'Occupation - une famille de cultivateurs, sept enfants, quitte sa petite ferme pour une grande à cent dix kilomètres de là : préparatifs, voyage sur des charrettes, installation... À l'échelle bocagère, une sor[...]texte imprimé
«"L'amour, Malaussène, je vous propose l'amour !" L'amour ? J'ai Julie, j'ai Louna, j'ai Thérèse, j'ai Clara, Verdun, le Petit et Jérémy. J'ai Julius et j'ai Belleville..."Entendons-nous bien, mon petit, je ne vous propose pas la bo[...]texte imprimé
Les droits imprescriptibles du lecteur1. Le droit de ne pas lire.2. Le droit de sauter des pages.3. Le droit de ne pas finir un livre.4. Le droit de relire.5. Le droit de lire n'importe quoi.6. Le droit au bovarysme (maladie textuel[...]texte imprimé
«"Un roman ?" demande-t-elle angoissée.J'incline la tête."Tu m'as souvent dit vouloir écrire un jour un roman où aucun mot ne serait sérieux. Une Grande Bêtise Pour Ton Plaisir. J'ai peur que le moment ne soit venu. Je veux seulemen[...]texte imprimé
«Je travaillais pour un assassin. Cette réflexion prenait toute sa valeur lorsque je me penchais sur la rivière. Je travaillais pour un assassin comme la plupart des habitants de la ville, mais personne ne disait rien.Les fermes con[...]texte imprimé
«Edgar aimait le pouvoir mais il en détestait les aléas. Il aurait trouvé humiliant de devoir le remettre en jeu à intervalles réguliers devant des électeurs qui n'avaient pas le millième de sa capacité à raisonner. Et il n'admettai[...]texte imprimé
«À partir du mois de septembre l'année dernière, je n'ai plus rien fait d'autre qu'attendre un homme : qu'il me téléphone et qu'il vienne chez moi.»Annie Ernaux.texte imprimé
«J'ai toujours eu envie d'écrire des livres dont il me soit ensuite impossible de parler, qui rendent le regard d'autrui insoutenable. Mais quelle honte pourrait m'apporter l'écriture d'un livre qui soit à la hauteur de ce que j'ai [...]texte imprimé
Annie Ernaux s'efforce ici de retrouver les différents visages et la vie de sa mère, morte le 7 avril 1986, au terme d'une maladie qui avait détruit sa mémoire et son intégrité intellectuelle et physique. Elle, si active, si ouverte[...]texte imprimé
«Le jour où mon père est mort, le 30 juillet 1980, la réalité a cessé de me passionner. J'avais quinze ans, je m'en remets à peine. Pour moi, il a été tour à tour mon clown, Hamlet, d'Artagnan, Mickey et mon trapéziste préféré ; mai[...]