A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les recherches... |
Détail de l'auteur
Auteur Marie Sizun (1940-....) |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Affiner la recherche
texte imprimé
Le souvenir tenace d'une histoire familiale jadis éclatante, une certaine gêne financière pour ne pas dire pauvreté, et finalement une volonté farouche de lutter contre le déclassement. On a tous un lieu d'enfance, lieu des premièr[...]texte imprimé
Le monde de la petite Marion vacille. Elle aime sa mère, Fanny, mais une dissonance s'installe dans leur relation. Une voix un peu trop haute, des emportements inexplicables, un silence embarrassé à propos de ce père allemand [...]texte imprimé
C'est au cimetière de Meudon qu'elle découvre, à six ans, la sépulture familiale datée de 1877. Curieuse, elle recueille les souvenirs de proches, étudie photos et archives et raconte son histoire depuis l'exil en Suède, en 1867, du jeune França[...]texte imprimé
Marie Sizun, Auteur«Dans le grand salon, ce matin baigné de soleil, ils sont là tous les trois, Léonard Sèzeneau, sa femme, et elle, Livia, un peu comme trois acteurs sur une scène, encore ignorants de leurs rôles.» Qui est Livia, la gouvernante suédo[...]texte imprimé
Parfois, deux trajectoires se croisent par hasard, deux destinées, deux vies, qui, très éloignées l'une de l'autre, s'entremêlent et deviennent le clair et l'obscur d'une même histoire. L'une s'appelle Marthe, l'autre Alice. Tout le[...]texte imprimé
Sabine, en cinquième dans un lycée parisien, n'arrive pas à suivre. Personne ne peut l'aider : son père a quitté l'appartement de Montreuil, sa mère s'échine à faire des ménages. Elle s'ennuie en classe, ne comprend rien, n'aime pas les professe[...]texte imprimé
"Avant de s'endormir, elle songe à ce qu'elle a découvert, aux poèmes, aux images. Et l'immense, l'étonnant bonheur d'exister envahit la petite. Ce matin-là, Sabine, onze ans, fait l'école buissonnière. Que fuit-elle vraiment ? Est-[...]texte imprimé
À près de soixante ans, Hélène, devenue « Ellen » par son mariage avec un Américain, revient à Paris pour quelques jours après trente-cinq ans d'absence ; c'est son mari qui tient leur petite librairie française au sud de Manhattan. Après la mor[...]texte imprimé
Décidée à vendre la maison du Finistère, où depuis l’enfance, elle passait ses vacances en famille, parce que restée seule, elle n’en a plus l’usage, et surtout parce que les souvenirs qu’elle garde de ce temps sont loin d’être heur[...]texte imprimé
Été 1943. Véra quitte brusquement son appartement parisien et confie sa petite fille de quatre ans à la famille de son compagnon, des gens qu'elle connaît à peine. La demeure et son grand jardin pleins de mystère impressionnent la petite Marie q[...]texte imprimé
Après le Prix de la nouvelle de l’Académie française pour Vous n’avez pas vu Violette ?, Marie Sizun revient au genre avec ce nouveau recueil consacré au téléphone. Son usage est devenu si naturel que nous oublions de nous étonner d[...]texte imprimé
"Ces oubliés de la peinture, ces marginaux, ces créatures à peine ébauchées m'ont toujours intriguée, et charmée, mystérieuses existences nées d'une idée éphémère du peintre, ou ajout, pointe finale et, qui sait, signature secrète de l'artiste ?[...]texte imprimé
Hulda, la mère, vient de mourir. Les enfants sont séparés. Les deux jeunes garçons envoyés en pension, les petites filles restent à Meudon avec Léonard Sézeneau, leur père, et la gouvernante suédoise, son amante secrète. Ils s’installent ensuite[...]texte imprimé
Elles s'appellent Claire, Fanny, Sophie, Marion ou Violette. Elles sont très différentes mais ont quelque chose en commun : un absolu besoin de liberté. Elles sont les héroïnes de ces brèves nouvelles qui parlent de la vie de couple[...]texte imprimé
Elles s’appellent Claire, Fanny, Sophie, Marion ou Violette. Elles sont très différentes mais ont quelque chose en commun : un absolu besoin de liberté. Elles sont les héroïnes de ces brèves nouvelles qui parlent de la vie de couple[...]